Le CEO d’Eandis charge le régulateur flamand pour le deal avorté

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Pour le CEO d’Eandis, le régulateur flamand de l’énergie, la Vreg, a sa part de responsabilité dans le ratage de la fusion des intercommunales d’énergie flamandes et le deal avorté avec une société chinoise.

Le vote sur la prise de participation de la société chinoise State Grid dans Eandis n’a finalement pas eu lieu lundi lors d’une assemblée général extraordinaire. L’intercommunale anversoise Imea avait en effet décidé jeudi de se retirer du projet de fusion des sept intercommunales flamandes après que la Vreg a refusé qu’elle continue à proposer des tarifs plus bas après la fusion.

Également en cause: la commune d’Ellezelles (Hainaut) refuse de se retirer de l’intercommunale énergétique Gaselwest.

Le CEO d’Eandis reproche à la Vreg de s’être contentée d’un communiqué diffusé jeudi et n’a plus donné de position officielle, même après avoir été sollicitée par Eandis.

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