Selon une étude réalisé par le bureau de consultance Sia Partners, spécialisé dans l'énergie, le gel des prix du gaz et de l'électricité en vigueur depuis avril représente un manque à gagner de 200 millions d'euros pour les fournisseurs d'énergie, écrit vendredi L'Echo.
"En bloquant l'indexation à la hausse des tarifs électricité et gaz pour les clients résidentiels, le chiffre d'affaires des fournisseurs a diminué de 4 à 10% par mois entre avril et décembre 2012", estime le consultant.
Pour Sia Partners, ce gel "handicape les investissements ou même, pire, fait peser un risque sur la rentabilité de certains". "La Belgique devient un marché à risque en terme d'investissements", estime-t-il.
Le bureau de consultance pointe aussi la taxe sur les tarifs d'injection de 143 millions d'euros à charge des producteurs. "Cette taxe rend les centrales belges - mêmes neuves - moins compétitives et entraîne une diminution de l'offre", insiste-t-il dans L'Echo.
Quant à l'arrêt des centrales nucléaires, il estime que cela "fragilise le socle de la production belge et augmentera la dépendance énergétique, influençant ainsi négativement la balance des paiements".
Trends.be, avec Belga
"En bloquant l'indexation à la hausse des tarifs électricité et gaz pour les clients résidentiels, le chiffre d'affaires des fournisseurs a diminué de 4 à 10% par mois entre avril et décembre 2012", estime le consultant.
Pour Sia Partners, ce gel "handicape les investissements ou même, pire, fait peser un risque sur la rentabilité de certains". "La Belgique devient un marché à risque en terme d'investissements", estime-t-il.
Le bureau de consultance pointe aussi la taxe sur les tarifs d'injection de 143 millions d'euros à charge des producteurs. "Cette taxe rend les centrales belges - mêmes neuves - moins compétitives et entraîne une diminution de l'offre", insiste-t-il dans L'Echo.
Quant à l'arrêt des centrales nucléaires, il estime que cela "fragilise le socle de la production belge et augmentera la dépendance énergétique, influençant ainsi négativement la balance des paiements". Trends.be, avec Belga