Avec son appel à sauver la compétitivité européenne avant qu’il ne soit trop tard, Mario Draghi lance un signal d’alarme de grande ampleur, selon Hans Dewachter, économiste en chef de KBC. Cette alerte ne sera cependant pas un second slogan emblématique à la manière de son fameux “Whatever it takes” (“quoi qu’il en coûte”) lancé en tant qu’ancien président de la BCE en 2012. Car ce plan nécessite un capital politique, et c’est là que le bât blesse.
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