Lors des vœux à la presse, Georges-Louis Bouchez a fait du Bouchez. Ses cibles préférées en ont pris pour leur grade : la gauche, le “bordel” qu’elle provoque dans la rue, et les journalistes qui restent indifférents. Mais surtout, le président du MR a promis que la formation libérale ne reculera pas et ne diluera pas ses réformes.
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