Bruxelles serre les rangs face au narcotrafic et se plaint du fédéral, mais les fusillades continuent

Les violences dues au narcotrafic sont sans fin. Les communes bruxelloises décident d’une “unité de commandement”. C’est précisément le prescrit de l’Arizona qu’ils rejettent. La capitale reste l’incomprise du pays ou le symbole d’un Etat failli. Les narcotrafiquants, eux, se jouent de ces divisions.