Vladimir Poutine, Volodymyr Zelensky et le Zwarte Piet
Toutes proportions gardées, les dirigeants russe et ukrainien jouent à un jeu bien connu en Belgique : faire porter à son adversaire la responsabilité d’un échec politique, en lui refilant le Valet puant (Zwarte Piet, en néerlandais). C’est à nouveau ce qui semble se produire, en amont des négociations d’Istanbul, en Turquie, où Vladimir Poutine ne se rendra probablement pas.
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer