“Si le but était de stimuler la concurrence et d’augmenter les taux d’épargne, la politique y est parvenue avec le premier bon d’État. Je me demande alors quel pourrait être l’objectif d’un deuxième”, dit Johan Thijs, directeur général de KBC.
Copiez-collez cette URL dans votre site WordPress pour l’inclure
Copiez-collez ce code sur votre site pour l’y intégrer