L'UE a mis 17 pays à l'index, l'OCDE un seul et l'ONG Oxfam appelle à en épingler 35: les listes noires se multiplient pour lutter contre les paradis fiscaux, quitte à créer de la confusion sur les critères à respecter.
Impuissance, double langage, voire hypocrisie: les Etats se retrouvent sur la sellette à chaque fois qu'éclate un scandale comme celui des Paradise Papers. Ils ont pourtant la clef pour lutter contre l'optimisation fiscale, selon des représentants d'institutions internationales et des ONG.
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