Caterpillar: “Il ne reste pas grand-chose des déclarations politiques…”

De droite à gauche, Paul Magnette, Charles Michel et Kris Peeters. © Belga

Il ne reste pas grand-chose des déclarations politiques entendues dans la foulée de l’annonce de la fermeture de Caterpillar Belgium, indique Gérald Scheepmans, permanent CNE dans l’édito du prochain numéro du trimestriel syndical “Faut le fer” à paraitre prochainement.

Selon Gérald Scheepmans, le gouvernement fédéral a repris son travail de démantèlement de la sécurité sociale et les propositions de loi des partis d’opposition sont restées lettre morte.

Parmi les déclarations entendues après la fermeture de Caterpillar Belgium, Gérald Scheepmans rappelle qu’il avait alors été entre autres question de durcir la procédure Renault ou de rendre impayables les licenciements boursiers.

Depuis cette période qui suivait l’annonce de fermeture, le gouvernement fédéral est même redevenu selon Gérald Scheepmans “l’ennemi direct des travailleurs quand il s’est agi de garantir l’avenir des travailleurs âgés licenciés et qu’il a refusé l’amélioration des conditions d’accès au régime de chômage avec complément d’entreprise”.

Lundi, le vote positif (95,68%) des employés et cadres sur la proposition de la direction a ponctué une étape importante dans les négociations de fermeture.

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