Investir dans l’immobilier, la norme en Belgique

Le prix de vente doit correspondre à la réalité économique, sous peine d'annulation de l'opération par le notaire ou de redressement par l'administration. © PG

En cas d’héritage important (300.000 euros), le Belge consacrerait une large partie de celui-ci (42,6%) à un investissement dans l’immobilier, selon une étude menée pour Beobank. A l’inverse, seuls 11,6% du montant seraient investis. Pour le reste, il serait réparti en épargne (20%), en achats divers (13,2%) et en legs (9,2%).

Hors héritage, 58% des Belges disent ne pas du tout être actifs sur le marché des investissements. Chez les moins de 35 ans, la proportion atteint même 74%, selon l’étude menée par iVox auprès d’un échantillon de 1.000 personnes. L’âge n’est pas la seule variable, rapporte Beobank. “En comparaison avec les titulaires d’un diplôme de l’enseignement supérieur, les personnes sans diplôme sont aussi plus nombreuses à dire qu’elles n’investissent pas (62% contre 51%).” Les formes de placement les plus populaires sont les fonds de placement (24%), les assurances placement (19%) et les actions (18%). Environ un Belge sur dix possède des obligations.

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