Umicore est la seule entreprise belge présente dans le Top mondial des sociétés les plus éthiques, établi par le groupe de réflexion Ethisphere, selon qui l’éthique paie, même en termes financiers.
Umicore est la seule entreprise belge citée dans le classement mondial des entreprises les plus éthiques, établi pour la 5e année par Ethisphere, groupe de réflexion dédié à la création, à l’évolution et au partage des meilleures pratiques dans l’éthique professionnelle, la responsabilité sociale d’entreprise, la lutte contre la corruption et la durabilité.
Elle est également la seule entreprise citée dans sa catégorie, “Metals”, alors que le classement 2011 d’Ethisphere comprend 110 sociétés actives dans 38 secteurs, pour seulement 43 entreprises basées en dehors des Etats-Unis.
La méthodologie comprend sept indicateurs-clés de performance : l’analyse du code éthique, des litiges et des infractions réglementaires ; l’évaluation des investissements consentis en innovation et en pratiques d’entreprise durables ; l’examen des activités destinées à améliorer la citoyenneté d’entreprise ; l’étude des nominations effectuées par des cadres supérieurs, d’autres entreprises du secteur, des fournisseurs et des clients.
“Investir dans l’éthique est profitable pour toutes les entreprises, même en période de récession”, souligne Ethisphere sur son site Internet. Pour prouver ses dires, le groupe de réflexion publie sur son site le graphique ci-dessous, qui compare le WME Index – autrement dit, tous les membres du classement 2011 cotés en Bourse – et le S&P 500 depuis le premier classement en 2007.
Signalons que nos voisins ne sont guère mieux lotis. La France n’abrite “que” cinq entreprises parmi les plus éthiques du monde (PepsiCo, Solae, Stonyfield Farm, Schneider Electric, Unibail-Rodamco), contre deux pour les Pays-Bas (Rabobank, Royal Philips) et autant pour l’Allemagne (Colgate-Palmolive, Henkel).
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