Searchlight, le chasseur immobilier bruxellois

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Fondé en 2010, le bureau Searchlight occupe le devant de la scène des chasseurs immobiliers bruxellois, satisfaisant une clientèle souvent étrangère.

Riche d’une expérience de huit ans dans l’immobilier, tant dans la vente que dans la location, Marie Palmblad a fondé le bureau Searchlight en 2010. “J’ai ressenti à un moment une certaine frustration de ne pas pouvoir contenter le client par rapport à son désir, se souvient-elle. De plus, dans le métier, les agences ne collaborent pas du tout entre elles. C’est un obstacle pour rechercher un bien sur tout le marché.”

Searchlight a démarré au quart de tour : “J’ai fait jouer mes contacts. Trois semaines après la mise en ligne de mon site, mon premier client avait déjà sa maison !” Depuis, le rythme se maintient et Searchlight occupe le devant de la scène des chasseurs immobiliers bruxellois, satisfaisant une clientèle souvent étrangère.

Au-delà de la recherche d’un bien

Concrètement, comment se déroule l’intervention de Searchlight ? “Je cible tout d’abord les désirs du client : quel quartier, quel budget, quel type de bien, etc., précise Marie Palmblad. Je passe ensuite le marché au crible et vais visiter les biens présélectionnés en me glissant dans la peau de mon client. Je rédige un compte rendu de mes visites, que mon client peut consulter dans son dossier en ligne. Il peut alors me donner son avis, même depuis l’étranger.”

Une fois que le client a jeté son dévolu sur un bien, Marie Palmblad se charge de la négociation du prix et fait l’offre : “Je connais les prix du marché, je sais comment négocier et jusqu’où aller dans l’équilibre des négociations. Je suis convaincue que les contacts avec le vendeur, l’agent ou le propriétaire sont plus aisés quand l’interlocuteur connaît le métier.” Question rémunération, Searchlight travaille suivant une commission fixe située entre 1,5 % et 2,5 % du prix de vente de la maison.

Une fois le bien acquis, Searchlight se charge, si le client le désire, d’établir des contacts avec un notaire de confiance. “Ma mission se termine logiquement après la signature du compromis. Mais par la suite, le client a souvent besoin d’un entrepreneur, d’un architecte, d’un décorateur, etc. Je lui présente mes contacts et lui fais profiter de petits services annexes. Les clients, qui arrivent souvent de l’étranger, apprécient d’être mis en relation avec des personnes en qui ils peuvent d’emblée avoir confiance.”

Marie d’Otreppe

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