Le Flamand épargne pour son héritage, le Wallon pour joindre les deux bouts

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Alors qu’un Wallon de plus de 50 ans épargne afin d’arriver à joindre les deux bouts, son pendant flamand le fait lui en vue de son héritage, ressort-il mercredi d’une enquête de Plus Magazine réalisée auprès de 2.474 personnes.

L’enquête de Plus Magazine révèle que les personnes de plus de 50 ans se préoccupent de leur héritage de plus en plus tôt. Les Flamands de plus de 50 ans épargnent pour joindre les deux bouts, mais aussi pour se construire un pécule, et lorsque cela est possible afin de léguer un héritage aux générations suivantes lorsqu’ils seront décédés.

Le Belge pense également de plus en plus tôt à ce qu’il laissera à ses enfants. Alors qu’il se préoccupait auparavant de son héritage à partir de 60 ou 70 ans, il s’en soucie maintenant à partir de 50 ans ou même parfois plus tôt encore. Ainsi, 35% des personnes interrogées ayant entre 50 et 59 ans pensent à ce qu’elles laisseront à leurs proches après leur décès mais n’agissent pas directement pour autant, tandis que 43% des plus de 60 ans sont occupés à cette tâche ou assurent vouloir s’y mettre prochainement.

La crise économique n’a donc pas affecté le côté épargnant du Belge. Plus de la moitié des personnes interrogées indique épargner de la même façon qu’avant la crise, principalement pour pouvoir pallier les éventuels coups durs et afin de financer leurs vieux jours.

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